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Blog d'HABEO Art et Estampes

Théodore Rousseau l'homme qui murmurait aux arbres

 

Né le 15 avril 1812 à Paris, fils d’un tailleur installé dans le quartier Saint-Eustache, rue d’Aboukir, Théodore Rousseau apprend la peinture dans l’atelier de Pierre-Alexandre Pau de Saint-Martin avant d’intégrer, vers 1827, l’atelier de Charles Rémond (1795-1875) dont il mettra longtemps à se débarrasser «des spectres» puis celui de Guillon-Lethière, en 1828 qu’il abandonne par manque de goût pour le «Paysage historique» et va en Auvergne.

1830, séjour en Auvergne et dans le Cantal où il exécute une cinquantaine de dessins à la mine de plomb «durs,… chargés, mais d’un travail consciencieux et naïf».

1831, débute au Salon avec un «Site d’Auvergne» et réalise des esquisses peintes et des dessins des environs de Honfleur, Bayeux, Avranches, Rouen, Granville, Andelys…

1832, Théodore Rousseau va et vient entre les côtes du Mont Saint-Michel et les bords de la Seine ou de la Loire.

1833, au Salon, le critique Gustave Planche (1808-1857) salue «(la) conscience, (le) courage et (la) naïveté, (de)… M. Rousseau…(dont) Il faut approuver… la vérité des tons et l’acceptation franche des lignes de la nature, la légèreté de ses feuilles» des «Côtes de Granville».

1834, obtient une médaille de troisième classe en catégorie Paysage avec « Lisière d’un bois coupé dans la forêt de Compiègne », toile acquise par le Duc d’orléans. Voyages dans les Alpes et le Jura (1834-1835) à l’issue desquels il ramène une esquisse pour laquelle s’enthousiasme Ary Scheffer (1795-1858) et qui lui prête son atelier pour la réalisation de la « Descente des vaches des hauts plateaux du Jura » qui sera refusée au Salon de 1836.

1835, voyage en Normandie et publication d’un « Cahier de six eaux-fortes ». Delaborde considère le graveur Rousseau comme « le mieux doué… de sa génération, et dont les œuvres si peu nombreuses qu’elles soient, suffiront pour faire vivre son nom » .

1836, découvre Barbizon, Chailly-en-Brière. Le poète Alfred de Musset (1811-1857) traverse les paysages du Salon de 1836 en compagne de Mme Aimée-Zoé-Lizinska de Mirbel (1796-1849) sous «L’hiver» de Louis Cabat (1812-1893) risquant un aparté avec Paul Huet (1804-1869) avant de s’immobiliser devant François-Marius Granet (1775-1849)

1837, voyage en Vendée avec son ami Charles Le Roux (1814-1895), en particulier à Bressuire d’où il rapporte «l'Allée de châtaigniers» qui lui coûte son deuxième refus au Salon.

1838, dernière exposition au Salon avec « Vue du château de Saint-Ouen près Château-Gonthier » avant une absence de dix années, victime de la « dictature » que faisait régner Ingres (1780-1867). Le critique Frédéric Mercey ne cite Rousseau qu’au fil d’une énumération de paysagistes en tête de laquelle il développe Cabat, Huet et Prosper Marilhat (1811-1847).

1841, Jules Dupré (1811-1889) s’installe à l’Isle-Adam et invitera son ami Rousseau à découvrir ces bords de l’Oise jusqu’à Pontoise (1843, 1845).

1842, voyage dans le Berry.

1844, voyage dans les Pyrénées, et avec Dupré (1811-1889) parcourt les Landes (1845).

1847, s’installe à Barbizon et rejoint l’«Association des Artistes» initiée l’année précédente par le baron Taylor (1789-1879).

1848, Ledru-Rollin (1807-1874) met fin à la réglementation des Salons instaurée par la Monarchie de Juillet qui avait laissé à la seule Académie des Beaux-arts la sélection et les récompenses des œuvres, et déclare le Salon ouvert à tous. Théodore Rousseau comme d’autres artistes proscrits refuse cependant d’être représenté aux côtés des amateurs.

1849, un jury élu démocratiquement au suffrage universel par les exposants est établi au Salon qui s’installe au palais des Tuileries. Le jury de récompenses est présidé par Napoléon III qui fait œuvre de réparation envers les proscrits d’hier, Théodore Rousseau reçoit une médaille de première classe.

La revue «L’Artiste» annonce dans sa chronique «Mouvement des arts» : «Rousseau, Jacque et Millet, ces trois naturalistes qui ont dérobé un rayon de poésie à Rembrandt et à Ruysdaël, se sont retirés du monde définitivement. Ils ont acheté chacun une petite maison dans la forêt de Fontainebleau à Barbizon, cette franche académie des paysagistes». La même revue signale quelques semaines plus tard la vente de la collection Mosselmann dont «L’Allée de châtaigniers» ayant appartenu auparavant à Paul Périer adjugé 820 fr.

Le 2 mars 1850, T. Rousseau expose, à l’hôtel de la rue des Jeûneurs, cinquante quatre tableaux «achevés, des esquisses à peine indiquées (qui) ont été acquis à d’excellents prix».

Le Salon de 1850-1851 s’ouvre au Palais National et le jury d’admission est encore élu par les artistes alors que l’Académie des Beaux-arts se réintroduit dans le jury des récompenses avec treize membres contre dix-sept désignés par le Ministère de l’Intérieur. Clément de Ris, le critique de «L’Artiste» salue le retour de Rousseau «le premier de nos peintres de paysage» et «admire bruyamment» «Lisière de forêt» (n°2704) «Effet du matin» (n°2705)

Le 16 juillet 1852, la Légion d’Honneur lui est accordée.

En 1852 et 1853, sous l’impulsion du comte Alfred-Emilien de Nieuwerkerke qui bénéficie de l’appui de la princesse Mathilde dont il est l’amant, le jury d’admission est celui qui attribue les récompenses ; Il est composé de sept membres élus et de sept membres désignés par le ministre.

1853, Selon Saunier, le «Marais dans les landes» «marque le point culminant de sa carrière» ,

Le Salon de 1854 est renvoyé à l’année suivante, date de l’Exposition universelle ; le jury de sélection et des récompenses est confié à trente quatre membres dont dix-neuf de l’Institut.

le 15 mai 1855 s’ouvre l’Exposition Universelle au palais des Beaux-arts. La commission présidée par le prince Napoléon est composée entre autres de Delacroix, Ingres (1780-1867), Mérimée (1803-1870)… Pour les Etats-Unis d’Amérique, section Peinture, sous le numéro 2367 un tableau peint sur caoutchouc «La famille de M. Charles Goodyear».

Sur le Catalogue de l’Exposition Universelle de 1855, Théodore Rousseau est domicilié au 13 rue du Nord, il y expose treize peintures numéros de 3927 à 3939 dont une figurait au Salon de 1853 «Un marais dans les landes» : «Les côtes de Granville», «Lisière de bois, Berry», «Une avenue, forêt de l’Isle-Adam», «Landes, effets du matin», «Sortie de forêt, Fontainebleau ; coucher de soleil», «Sortie de forêt, crépuscule ; Fontainebleau», «Lisière de Monts-Gérard, forêt de Fontainebleau», «Groupe de chênes dans les gorges d’Apremont», «Plaine de Barbizon ; effet du soir», «Un coteau, près Melun», «Un marais, Landes», «Un coteau cultivé, plaine de Barbizon». Son élève, le normand Charles Tillot qui avait été celui d’A. Scheffer, expose également en particulier sous le numéro 4063 un «Souvenir des Pyrénées».

1857, voyages en Picardie (Arras, Pecquigny).

Le Salon de 1857 aggrave les dispositions prises pour le Salon de 1855, le jury, présidé par le directeur général des Musées, est composé des quatre sections de l’Académie des Beaux-arts. ( En 1881, L’Ėtat abandonnera son droit de contrôle à une « Société des artistes français » et le Salon deviendra une sorte de club. En 1890, Meissonnier (1815-1891) et Puvis de Chavannes (1824-1898) provoqueront la scission et fonderont la «Société Nationale des Beaux-arts» dont le Salon sera sans jury ni récompense, quelques impressionnistes ou apparentés comme Desboutin y adhérereront).

Si l’écrivain Edmond About (1828-1885), vante «le premier apôtre de la vérité dans le paysage… (qui) occupait le premier rang… surtout comme coloriste», il constate, malgré «un talent soutenu depuis 1834 jusqu’à l’Exposition de 1855», «un mouvement de recul assez notable» que traduisent les envois au Salon de 1857 ; «La Matinée orageuse» étant la meilleure toile «par le charme de l’effet général».

1860, pour vivre contraint de vendre ses œuvres et une partie de son mobilier. G. Bazin note que «les peintres de compositions et de figures, même d’avant-garde, furent toujours admis plus ou moins au Salon, tandis que les paysagistes, représentant le naturalisme intégral, y étaient toujours tenu en quarantaine».

1860, Exposition Bd des Italiens d’un dessin lavis rehaussé d’aquarelle «Bord de rivière» «digne de la grande réputation du maître, … une magnifique reproduction de la nature inondée de lumière» selon Emile Bouquet.

1862, voyage en Suisse et retour en Franche-Comté.

1863, passe une vingtaine de jours au col de la Faucille.

1863, face aux dérives des effets induits par les dispositions de 1857, Napoléon III intervient pour rendre la liberté aux artistes et ordonner l’exposition des refusés qui sont exposés à la suite des admis. Le Salon ouvre ses portes le 15 mai et plus de six cents toiles rejetées pour trois cents peintres sont exposées aux rires et à l’indignation du public alors que Manet provoque et mystifie avec son «Bain» qui deviendra «Le Déjeuner sur l’herbe».

Au Salon de 1863, Ernest Chesneau considère que les envois de T. Rousseau, «La Clairière» et «La Mare sous les chênes», «sont, comme intensité de vie agreste, les deux toiles les plus remarquables du Salon».

1865, l’invitation de Napoléon III au château de Compiègne lui procure une reconnaissance et une certaine aisance.

1866, Paul Durand-Ruel (1831-1922) acquiert soixante-dix  toiles de T. Rousseau pour cent trente milles francs.

Préside le jury du Salon de 1867 et oublie ses vingt années de proscription en éliminant deux tiers des envois dont Renoir (1841-1919) et Monet (1840-1926) tout en prononçant ces mots «Prenons garde, Messieurs, nous ne sommes peut-être plus que des ganaches romantiques, classiques à notre façon».

Paralysé du bras droit, il s’exerce de la main gauche alors que la cécité le guette. Sa mort le 22 décembre 1867 à Barbizon l’arrache à une triste fin. Théodore Rousseau est enterré au cimetière de Chailly ; René de La Ferté 1968 évoque la mort d’«un des maîtres du paysage moderne… Ce que Delacroix est dans la peinture d’histoire, ce que Decamps est dans la peinture de genre, Rousseau l’est dans le paysage... (alors qu’il) fut un de ceux qui se virent le plus refusés aux Salons… son nom a figuré des centaines de fois dans la fortune de l’hôtel des ventes».

 

Théodore Rousseau eût pour élève le rouennais Charles Tillot. Il influença les débuts d’Eugène Boudin (1825-1898), le néo-impressionniste belge Joseph Heymans (1839-1921) membre du groupe des XX.

 

De ses ballades, enfant puis adolescent, dans le bois de Boulogne ou de Franche-Comté au cours desquelles il croquait des dessins, Théodore Rousseau a conservé l’ivresse du plein air malgré une éducation artistique académique.

Sa découverte de Barbizon, avant Millet (1815-1875), et son installation l’inscrivent comme un défricheur du paysage français moderne «entre le Romantisme et le Réalisme… moins sensible au pittoresque qu’à un certain pathétique», les œuvres issues de ses voyages dans les provinces françaises voire les excursions italiennes ne se différenciant guère de celles de Fontainebleau. La plupart des historiens d’art le reconnaissent comme fondateur ou pour le moins précurseur de l’Ecole de Barbizon.

Dans ses «tâches de couleurs franches pour suggérer le mouvement», S. Cornell reconnaît l’influence d’Eugène Delacroix(1799-1863) et de John Constable(1776-1837). La manière de ce dernier, et plus particulièrement ses esquisses, se retrouve dans les compositions comprimées par abaissement de l’horizon qui ramène le fond au premier plan. G. Bazin ajoute que cet effet était rendu nécessaire par l’intérêt «vers la terre nourricière» qui oblige «l’épaississement de la couche picturale» du premier plan.

Ce contentement de l’ébauche satisfait «ce qui est en nous,… la réalité extérieure des choses» et trouve sa totale expression dans l’étude des couverts «où règne l’ombre, … dans le silence (de laquelle) fermentent les germes de la vie et de la mort qui attiraient le panthéiste Théodore Rousseau».

Malheureusement, ainsi que Saunier le constate dès le début du XXe siècle, les peintures de Théodore Rousseau «trop travaillées, prises et reprises, ont souffert du temps». Bazin note également ce tourment «par les buts et les moyens» qui l’a parfois conduit à fragmenter la couleur en points dans le ton et voit dans la «Plaine devant les Pyrénées» (Paris, Musée du Louvre) «un essai de division du ton en pointillisme» .

Malgré une production limitée (eaux-fortes, héliogravures, clichés verre « procédé bâtard qui tient de la lithographie et de l’eau-forte »), Théodore Rousseau est un graveur de premier plan dont les arbres et les effets de contre-jour « qui ont la même vigueur que les plus belles études à la plume » font le délice des amateurs. Ne disait-il pas « L’arbre qui bruit et la bruyère qui pousse est pour moi la grande histoire, celle qui ne changera pas. Si je parle bien leur langage, j’aurai parlé la langue de tous les temps ». Ses gravures et plus encore ses études le font apparenter aux hollandais du XVIIe et en particulier à Ruysdaël (1628-1682).

Les qualificatifs qui reviennent le plus souvent à propos de Théodore Rousseau et de ses œuvres -puissant, magnificence, splendeur, intensité, mouvement,

Ses œuvres sont exposées dans les musées de La Haye (Musée Mesdag), Le Havre, Nantes, Montpellier, Paris (Musée du Louvre), … ainsi que dans plusieurs collections privées.

 

Lors de l’exposition organisée en 1897 par les amis de Louis Français (1814-1897) à l’Ecole des Beaux-arts, à l’occasion de l’érection du monument commémoratif dans la ville natale du peintre, qui regroupe les paysagistes des années 1830, G. Geoffroy regrette que Théodore Rousseau n’ait pas été honoré ainsi en forêt de Fontainebleu.

Le 2 mai 1899, la vente de la collection Doria mettait plusieurs «Rousseau» sur le marché .

Dessins :

«Le bûcheron dans la forêt», «La plaine de Barbizon»…

Gravures :

  • Eaux-fortes : «Portrait d’homme» (d’après le tableau du Louvre attribué à Francia), «Portrait de Mme de Sévigné» (d’après le pastel de Nanteuil), «Lisière de Clairbois», «Site du Berry», «Vue du plateau de Bellecroix», «Chênes de Roche»…
  • Héliogravures : «Le cerisier», «La plaine», «La plante à Biau»…

Peintures :

«Tour du télégraphe à Montmartre» (1829),

«Site d’Auvergne» (1831),

«Vue prise des côtes à Granville» (Salon de 1834), «Lisière d’un bois coupé dans la forêt de Compiègne» (1834), «Vue de l’auberge du col de la Faucille» (1834),

«Allée des vaches», «Descente des vaches des hauts plateaux du Jura» (1835, Refusée au Salon de 1836),

«Allée de châtaigniers» (1837, refusée au Salon, acquise lors de la vente Carcano en 1912 par le Musée du Louvre, Paris.),

«Marais en Vendée», «Vieux château de Bressuire», «Château de Brogle», «Vue du château de Saint-Ouen près Château-Gonthier» (Salon de 1838),

«Avenue de la forêt de l'Isle-Adam» (1839),

«Plaine devant les Pyrénées», «Mare en forêt de Fontainebleau» (1845, hst 69,5*55 cm, coll. privée),

«Terrains d’automne» (1849),

«Village de Barbizon» (1850), «Dormoir du Bas-Bréau» (1850),

«Lisière de forêt» (Salon de 1851, n°2704) «Effet du matin» (Salon de 1851, n°2705),

«Plaine  de Macherin», «Après la pluie» (1852),

«Marais dans les landes» (1853) gravé par Gustave Dreux pour la chalcographie du Louvre (eau-forte, 365*530mm),

«Les côtes de Granville» (Salon de 1855), «Lisière de bois, Berry» (Salon de 1855), «Une avenue, forêt de l’Isle-Adam» (Salon de 1855), «Landes, effets du matin» (Salon de 1855), «Sortie de forêt, Fontainebleau ; coucher de soleil» (Salon de 1855), «Sortie de forêt, crépuscule ; Fontainebleau» (Salon de 1855), «Lisière de Monts-Gérard, forêt de Fontainebleau» (Salon de 1855), «Groupe de chênes dans les gorges d’Apremont» (Salon de 1855), «Plaine de Barbizon ; effet du soir» (Salon de 1855), «Un coteau, près Melun» (Salon de 1855), «Un marais, Landes» (Salon de 1855), «Un coteau cultivé, plaine de Barbizon» (Salon de 1855), «La Matinée orageuse» (Salon de 1857), «Les terrains et les bouleaux des gorges d’Apremont» (Salon de 1857),

«Carrefour de l’Epine» (Salon de 1857), «Hameau dans le Cantal» (Salon de 1857),

«Bords de la Loire au printemps» (1858), «Sortie de forêt à Fontainebleau, soleil couchant» (1858, hst 142*197,5 cm, Musée du Louvre, Paris.),

«Gorges d’Apremont» (1859),

«Bord de rivière» (1860, Expo. Bd des Italiens, dessin lavis rehaussé d’aquarelle),

«La Clairière» (Salon de 1863), «La Mare sous les chênes» (Salon de 1863),

«Village» (1864),

«Automne» (1867)…

 * Références

** Sources

  • Le Magasin Pittoresque, 1868, pp.379-382.
  • Edmond About, "Salon de 1857", Lib. L. Hachette, Paris, 1858, pp.352-353.
  • Sarah Cornell, trad. Catherine Englert, Anne Dechanet et Marie-Hélène Bousseau "Art: Une histoire de l'évolution des styles" Somogy & France Loisirs, 1983, p.351.
  • Jacques Lugand, Jean Nougaret, "Collections privées d'Auvergne", Musée Mandet, Riom, Catalogue de l'exposition juin - septembre 1970, notice p.81.
  • Claude Roger-Marx, "La gravure originale au XIXe siècle", Somogy, Paris, 1962, pp.25, 63, 95-98, 138.
  • * Claude Roger-Marx, "Le paysage français de Corot à nos jours", Ed. d'Histoire et d'Art Plon, Coll. Message, dir. par René Wittman, Paris, 1952, pp.21-23.
  • Charles Saunier, "La peinture au XIXe siècle", Larousse, Coll. Anthologie d'art français, tome I, pp.93-95.
  • G. Schurr, "Le guidargus de la peinture du XIXe siècle à nos jours 1984", Ed. de l'Amateur, 1984, p.588.

** Bibliographies

  • A. Sensier, « Souvenirs sur Théodore Rousseau », Techener, 1872.
  • Prosper Dorbes, « Théodore Rousseau », Ed. H. Laurens, 1911.
  • Loys Delteil, « L’œuvre gravée de Théodore Rousseau », in « Le peintre graveur illustrée ».

 

Bazin, "L'univers Impressionniste", Somogy, 1981, p.42.

«Salon de 1833, 3e article», .Revue des Deux Mondes, 1833, p187.

Vicomte Henri Delaborde, "La gravure. Précis élémentaire de ses origines, de ses procédés et de son histoire", Quantin Ed., Coll. Bibliothèque de l'enseignement des Beaux-arts, Paris, index, ill., 303p.

«Salon de 1836», in « Revue des Deux Mondes », 1836, pp.144-176.

Dessinée par Bar pour Le Magasin Pittoresque, 1868, p.381.

«Le Salon de 1838», Revue de Deux Mondes, p.402.

Bazin, p.26.

du 1er novembre 1849, p.14.

L’Artiste du 15 décembre 1849, p.62.

L’Artiste du 1er mars 1850, p.141.

p.18.

Cf. biblio. p.94.

«Salon de 1857», Lib. L. Hachette, Paris, 1858, pp.352-353.

Bazin, p.28.

«Revue des Beaux-Arts. Théodore Rousseau», Le Causeur, 18 mars 1860, p140.

Ernest Chesneau (1833-1890) «L'art et les artistes modernes en France et en Angleterre», Didier, Paris, 1864, pp. 178, 200, 203.

L’Artiste du 1er janvier pp.149-150.

Bazin, p.14.

Cl. Roger-Marx p.20.

Bazin, p.225.

Cité par Bazin, p.46.

Bazin, p.229.

Bazin, p.247.

Cl. Roger-Marx p.138.

Cl. Roger-Marx, p.98.

in Cl. Roger-Marx p.21.

Gustave Geffroy, "La vie artistique. Sixième série", Ed. H. Floury, 1900, p.94.

G. Geffroy, p.80.

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